Bonjour.
En regard des manifestations, des soulèvements et de la nĂ©buleuse des partis dit de gauche, les mouvements « horizontales » qui refusent toute reprĂ©sentation officielle, ont bien raison. C’est ce qui est le plus dĂ©stabilisant pour le système, alors il faut tenir bon. Ne pas oublier toutes les fois que le potentiel rĂ©el des soulèvements passĂ© comme 68, que des opportunistes (Cohn Bendit) ont dĂ©truit l’essence mĂŞme du mouvement, plus près Tsipras, sans parler des grands destructueurs (Hollande en est vraiment le symbole de la dĂ©magogie au grand jour qui nous a donnĂ© un Macron sans borne et sans retenu).
Les Gilets Jaunes, le soulèvement du Peuple AlgĂ©rien en sont des symboles. Dans un passĂ© pas si lointain, des mouvements spontanĂ©s et Ă©phĂ©mères dont un a marquĂ© une prise de conscience: l’existence du 1%. Maintenant, avec les Gilets Jaunes, le potentiel d’une montĂ© en puissance en gardant le cap de l’horizontalitĂ©, la force de la vĂ©ritable dĂ©mocratie: le Peuple par et pour le peuple, qui annihile tous les opportunistes.
En gardant ce cap, nous les citoyens commençons à penser le futur: la Constituante Citoyenne, le parti de transition et le Droit Démocratique.
Ces trois objets ou forces ne font qu’un. C’est leur articulation qui en font une synergie: le Peuple Souverain, l’instance suprĂŞme. Car c’est le citoyen travailleur qui fait que la sociĂ©tĂ© existe. Les autres (les opportunistes qui confisque le pouvoir politique) nous instrumentalise Ă travers la thĂ©orie Ă©conomique qu’ils ont concoctĂ©e et sophistiquĂ©e Ă travers le temps, depuis la première banque. Ce n’est pas le roi qui dominait, mais les banquiers qui leur prĂŞtait, et ça n’a pas changĂ© aujourd’hui.
Nous avons le portrait du capitalisme (Ă©conomie financiarisĂ©, et virtualisĂ© aujourd’hui), plein de petits vidĂ©os qui nous en montre les diffĂ©rents aspects, comme la dette pour les nuls: https://www.youtube.com/watch?v=oIzmj8CbCR0
Très instructif d’ailleurs. Ne nous privons de nous Ă©duquer, c’est jamais fini, en s’amusant.
Mais plus sĂ©rieusement, rĂ©flĂ©chir sur quelque chose qui risque de se perdre: l’expertise de la Cotisation.
Un extrait de
<h1>Appel : Tout le PIB pour la cotisation !</h1>
<div class= »infos »>
<span class= »authors »>par <span class= »author »>inconnu.e</span></span>4 November 2012
«« …………. le milieu des annĂ©es 1990, oĂą il atteint 66% du salaire brut total (22% de cotisations dites « salariĂ© » et 44% de cotisations dites « patronales »). La sĂ©curitĂ© sociale n’est pas une « dĂ©pense publique » financĂ©e par un « prĂ©lèvement obligatoire » : c’est une production publique qui gĂ©nère un ajout de valeur anticapitaliste. Et c’est parce que depuis quinze ans le taux de cotisation stagne, voire recule, que notre Ă©conomie s’installe Ă la fois dans la rĂ©cession et dans la fuite en avant capitaliste. »»
http://www.reseau-salariat.info/articles/3d02042ea4f8daa3b5dda0f837ed0971/
</div>
PrĂ©parons la Constituante Citoyenne, le parti de transition et le Droit DĂ©mocratique. Passons de l’Ă©tat de droit faillite Ă l’État DĂ©mocratique. La tâche est immense, mais nous sommes si nombreux (exerçons nos petite cellules grises). La Crise est multilatĂ©rale, multidimensionnelle et globale.
La vue d’ensemble nous donne accès aux tenants et aboutissants, aux causes et aux acteurs responsables, et le questionnement cohĂ©rent aux solutions.
Einstein:
L'<b>imagination est plus importante</b> que le savoir. Le savoir <b>est</b> limitĂ© alors que l'<b>imagination</b> englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l’Ă©volution.